Étudiants instables et crise : Ils affluent vers les banques alimentaires


Étudiants instables et crise : Ils affluent vers les banques alimentaires

Par Eleysiss 21 janvier 20222 minutes de lecture

Avec la crise économique et la pandémie de Covid-19, les étudiants de plus en plus précaires se présentent dans les banques alimentaires.

Les étudiants précaires, en croissance en France

Depuis le début de l’événement Crise du Covid-19, les étudiants n’ont jamais été aussi volatils.Avant même la pandémie, les jeunes 18 à 28 ans travailler dur pour terminer le moisSelon une étude récente, les étudiants français doivent Budget mensuel moyen de 500 euros.

Parmi ces jeunes de l’enseignement supérieur, de nombreux étudiants forcé de travailler pour payer ses factures (environ 46% d’entre eux).situation précaire menacent leurs étudesJusqu’à présent, d’autres problèmes s’aggravent avec la pandémie.

Beaucoup d’étudiants ont dit aujourd’hui pas assez d’argent pour acheter de la nourritureCertaines personnes pensent aussi qu’elles évitent de manger quelques fois par mois.Entre loyer, factures fixes, dépenses diverses et diverses, ces jeunes courent désormais à la porte centre de distribution alimentaire

Estimé aujourd’hui 30% des étudiants ont un découvert bancaire. Équivalent au pourcentage d’étudiants sans aide financière parentale. Cela a augmenté au cours des deux dernières années.

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Financièrement « pas de changement pour les étudiants »

C’est pourquoi les élèves les plus instables sont obligés de banque alimentaire fin de moisObligés de payer d’autres factures nécessaires, ces jeunes doivent sauter un bon régime débarrassez-vous en.

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Juste après le 10 janvier, plus de 350 personnes sont venues remplir leurs paniers à Paris. Madeleine Angst et Léa Manzano, 18 ans, sont des habituées du centre :  » nous avons besoin d’aide, la nourriture gratuite nous aide. En raison de mes études, je ne peux pas avoir de travail à temps partiel.Même si mes parents m’ont aidé financièrement, je suis content d’avoir ce réduire les coûts. »explique Léa.

Néanmoins, selon le président de Linkee, Julien Meimon, « Les étudiants n’ont rien changé » Et ce malgré le fait que depuis octobre 2020, le centre a servi plus d’un million de repas, ou malgré l’aide de la CAF.

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